Franck Marchal Eskenazi est né à Paris en 1965. Inspiré très tôt par son père cinéphile et animateur du cinéclub des auberges de jeunesse, il traîne ses guêtres dès l’âge de 5 ans à la Cinémathèque française de Chaillot. c'est un autodidacte qui laisse sa plumes ses pinceaux et sa caméra naviguer intuitivement. Sa mère Fortunée-Nicole Eskenazi psychothérapeute, lui a transmis son amour inconditionnel de l’humain, son esprit critique et une confiance en lui inébranlable. Mais plus encore, elle lui a offert cette capacité intuitive d'émerveillement. cette volonté permanente de faire jaillir le meilleur de chaque être humain.
Amateur de voyages, il vit a 20 ans une expérience initiatique et esthétique particulièrement marquante lors d'un voyage au Japon dans le cadre de l'année internationale de la jeunesse proclamée par les Nations-Unies.Les traces de ce voyage matriciel influence en profondeur le futur artiste.
Franck a toujours écrit de la poésie mais il découvre l'univers de la peinture tardivement en 2020.Sa première exposition à Genève "les mondes parallèles" présente un extrait des "105 premières oeuvres". c'est une révélation. Face aux tableaux dans une chambre du formule 1 de Saint-Cergue transformée en une galerie imaginaire à deux pas de la frontière Suisse juchés sur le sol il tente de décrypter le sens de tout cela...Son travail est suivi par un galeriste Parisien mais il n'accepte pas de montrer ses oeuvres pour l'instant.
Dans la même période que les "105" il écrit à toute allure "Camille" l'histoire d'un jeune garçon de 25 ans qui se fait passer pour une fille dans sa coloc et qui se trouve embarqué dans une histoire rocambolesque et inattendue sur les rives du Bosphore. Auteur, journaliste et reporter indépendant (JRI) et co-fondateur du site web « cinélibre », c'est aujourd'hui un réalisateur engagé et révolté qui s'investit dans la défense de nombreuses causes, et notamment celle des homosexualités, ce qui lui vaut malheureusement d’être sur la une des journaux de 20 heures de la planète suite à son agression violente durant la manifestation aux Invalides autour du « mariage pour tous ».
Taro ou le labyrinthe de Tadzio, son premier court-métrage, est le premier volet d'une série de films dont la finalité sera le long métrage "Mort sur l'ile des Princes". Taro, est un road-movie initiatique sur les rites de passage à l'âge adulte, la résilience, l'acceptation de soi et la liberté de choisir l'ambiguïté.
C'est aussi et d'abord un cri au delà de la falaise dans l'univers des "non dits"
Taro n'est pas seulement le premier film de Franck Marchal Eskenazi , c'est aussi la première oeuvre de la société de production "les Films de la Falaise " (Cliff à l'International) qu'il a fondé grace aux 65 investisseurs de la campagne "ulule" qui ont apportés la mise de départ de 17764 Euros.La production a mâturé durant 9 années et comme un bon vin il a fallut du temps pour qu'il soit au gout de son vigneron réalisateur.
En 2025 le film partira en festival
Une exposition itinérante accompagnera le film dans les festivals Français et internationaux. Ces exhibitions exposeront les photographies de Cristian-Robert Simic prises avant le tournage en Normandie et les oeuvres plastique des artistes ayant construit le décors du film dans la résidence d'artistes de La Passerelle à Bagneux (Hauts-de-Seine),
Franck a aussi créé et animé depuis 2010 des communautés de petite taille "les LAB" Laboratoire des Arts et de la Beauté et travaille sur un ambitieux projet "LAB Ciné" maillage de cinéclubs en "Coliving"sur les 5 continents.
Il travaille aussi depuis une année avec son complice André Chouillou sur 'écriture



